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Poèmes
Rappel du premier message :
Bonsoir,
Pour vous, que représente les poèmes? est-ce une raison de vivre, une façon de communiquer ou un moyen de vivre? Pour moi c'es tune raison de vire et une façon de communiquer car ça fait toujours un plaisir en + et on peut zapper le moral desgens (que ce soit négatif ou pas).
Toi
Ton prénom résonne dans ma tête
comme une douce mélodie,
Tes sourires ravivent
mes jours de pluie.
Tes yeux, j'en rêve
jour et nuit,
Tes lèvres me font
oublier mes soucis.
Auprès de toi
j'aimerai passer ma vie.
Bonsoir,
Pour vous, que représente les poèmes? est-ce une raison de vivre, une façon de communiquer ou un moyen de vivre? Pour moi c'es tune raison de vire et une façon de communiquer car ça fait toujours un plaisir en + et on peut zapper le moral desgens (que ce soit négatif ou pas).
Toi
Ton prénom résonne dans ma tête
comme une douce mélodie,
Tes sourires ravivent
mes jours de pluie.
Tes yeux, j'en rêve
jour et nuit,
Tes lèvres me font
oublier mes soucis.
Auprès de toi
j'aimerai passer ma vie.
unestar7- Invité
Re: Poèmes
Ils sont trop beau vos poèmes!!!!!!!
envoici quelque uns que j'ai fait:
Une larme doucement coule
puis roule
sur ma joue trempée
et mouillée
tu m'as brisé le coeur
tu m'as enlevé mon bonheur
je ne suis plus qu'une poussière
qui ne vivait qu'un rêve
c'était si brutal
tu était tous pâle
tes mots m'ont réduit à néant
vidés de mon sang
pires que la mort
tous le contraire de l'or
j'étais trop faible
plus que la terre
pour entendre cette véritée
fatale à ma vie déchirée
je ne pense qu'a toi
et toi tu ne veut ne plus de moi
pire que tous ça
ça n'existe pas
la pluie tombe
pendant que je quitte ce monde...
Dans le ciel
Il y a le soleil
Dans les nuages
Il y a ton visage
Dans l'eau
Tu te reflète, toi qui est si beau
Dans mon coeur
Grandit ma peur
Celle de te perdre pour toujours
De faire tomber la tour
Construite par notre amour
Jour après jour
Si seulement je pouvais lire
Lire le futur pour prévoir le meilleur et le pire
Mais je suis dans le présent
Si grand et si hésitant
Ma peur est là
Et ne pars pas
Promet moi
Pour enlever se poids
De notre amour infini
Qui jamais ne tombera dans l'oubli...
Pourquoi?
Pourquoi tant d'horreur?
Sans bonheur?
Pourquoi tant d'amour?
Sans retour?
Pourquoi tant de morts?
Sans tort?
Pourquoi tant de haine?
Sans chaînes?
Pourquoi l'as tu quittée?
Sans pensés?
Pourquoi elle c'est sucidée?
Sans t'oublié?
Pourquoi je t'aime?
Sans haine?
Pourquoi?
Tant de choix?
Pourquoi?
Suis-je faible moi?
POURQUOI??
Mon coeur,
Doucement meurs
Tu l'as quittée
Tu l'as laissée
Seule face à la vie
Seule, dans un monde pourri
C'était ma meilleure amie
Pour aujourd'hui et pour la vie
Elle c'est suicidée
Sans t'oublié
Elle me manque terriblement
Horriblement
Je veux la retrouver
Ne plus l'abandonner
Mourir,
Ne plus me nourrir
Je veux lâcher, la vie
Lâcher, je n'ai plus envie
Et je n'ai plus de raison
La vie c'est trop long
Mon âme s'enfuit
Mes yeux se ferme puis
La mort vient s'emparer de moi
Elle ne pense plus à toi...
et voici le début d'un autre:
un papillon vole
et moi je m'envole
j'aimerait que ce soit dans tes bras
qu'ils soient toujours ouvert et toujours là
mais ce n'est pas le cas,
car tu n'est pas là
si seulement tu m'aimait
si seulement tu me le disais
un jour
ceci ferais grandir mon amour
ce serais le plus beau jour de ma vie
et tu deviendrait plus qu'un ami...
Tant d'années ont passées
mais je ne t'ai pas oublié
toi tu est devenu si beau
que pour te décire, il n'existe aucun mots
toutes les filles te veulent
et moi je suis seule
à l'écart du monde
je ne suis pas dans cette ronde
de filles si belles
qu'elles semnblent iréels
Par contre la diffusion de ces poèmes est interdite!!!!!!!
Attention!!!!
Vos poèmes ils sont trop trop beau par contre!!!!!!!!!!
envoici quelque uns que j'ai fait:
Une larme doucement coule
puis roule
sur ma joue trempée
et mouillée
tu m'as brisé le coeur
tu m'as enlevé mon bonheur
je ne suis plus qu'une poussière
qui ne vivait qu'un rêve
c'était si brutal
tu était tous pâle
tes mots m'ont réduit à néant
vidés de mon sang
pires que la mort
tous le contraire de l'or
j'étais trop faible
plus que la terre
pour entendre cette véritée
fatale à ma vie déchirée
je ne pense qu'a toi
et toi tu ne veut ne plus de moi
pire que tous ça
ça n'existe pas
la pluie tombe
pendant que je quitte ce monde...
Dans le ciel
Il y a le soleil
Dans les nuages
Il y a ton visage
Dans l'eau
Tu te reflète, toi qui est si beau
Dans mon coeur
Grandit ma peur
Celle de te perdre pour toujours
De faire tomber la tour
Construite par notre amour
Jour après jour
Si seulement je pouvais lire
Lire le futur pour prévoir le meilleur et le pire
Mais je suis dans le présent
Si grand et si hésitant
Ma peur est là
Et ne pars pas
Promet moi
Pour enlever se poids
De notre amour infini
Qui jamais ne tombera dans l'oubli...
Pourquoi?
Pourquoi tant d'horreur?
Sans bonheur?
Pourquoi tant d'amour?
Sans retour?
Pourquoi tant de morts?
Sans tort?
Pourquoi tant de haine?
Sans chaînes?
Pourquoi l'as tu quittée?
Sans pensés?
Pourquoi elle c'est sucidée?
Sans t'oublié?
Pourquoi je t'aime?
Sans haine?
Pourquoi?
Tant de choix?
Pourquoi?
Suis-je faible moi?
POURQUOI??
Mon coeur,
Doucement meurs
Tu l'as quittée
Tu l'as laissée
Seule face à la vie
Seule, dans un monde pourri
C'était ma meilleure amie
Pour aujourd'hui et pour la vie
Elle c'est suicidée
Sans t'oublié
Elle me manque terriblement
Horriblement
Je veux la retrouver
Ne plus l'abandonner
Mourir,
Ne plus me nourrir
Je veux lâcher, la vie
Lâcher, je n'ai plus envie
Et je n'ai plus de raison
La vie c'est trop long
Mon âme s'enfuit
Mes yeux se ferme puis
La mort vient s'emparer de moi
Elle ne pense plus à toi...
et voici le début d'un autre:
un papillon vole
et moi je m'envole
j'aimerait que ce soit dans tes bras
qu'ils soient toujours ouvert et toujours là
mais ce n'est pas le cas,
car tu n'est pas là
si seulement tu m'aimait
si seulement tu me le disais
un jour
ceci ferais grandir mon amour
ce serais le plus beau jour de ma vie
et tu deviendrait plus qu'un ami...
Tant d'années ont passées
mais je ne t'ai pas oublié
toi tu est devenu si beau
que pour te décire, il n'existe aucun mots
toutes les filles te veulent
et moi je suis seule
à l'écart du monde
je ne suis pas dans cette ronde
de filles si belles
qu'elles semnblent iréels
Par contre la diffusion de ces poèmes est interdite!!!!!!!
Attention!!!!
Vos poèmes ils sont trop trop beau par contre!!!!!!!!!!
Re: Poèmes
voici un peu plus de suite:
un papillon vole
et moi je m'envole
j'aimerait que ce soit dans tes bras
qu'ils soient toujours ouvert et toujours là
mais ce n'est pas le cas,
car tu n'est pas là
si seulement tu m'aimait
si seulement tu me le disais
un jour
ceci ferais grandir mon amour
ce serais le plus beau jour de ma vie
et tu deviendrait plus qu'un ami...
Tant d'années ont passées
mais je ne t'ai pas oublié
toi tu est devenu si beau
que pour te décire, il n'existe aucun mots
toutes les filles te veulent
et moi je suis seule
à l'écart du monde
je ne suis pas dans cette ronde
de filles si belles
qu'elles semnblent iréels
la suite:
je n'ai aucune chance
je penche et balance
il vaut mieux abandonner
et mon histoire sera terminée
ou continuer encore
jusqu'à ma mort
mes rêves ne pourront plus se réaliser
jamais tu ne m'aimera, et sans doute tu ne m'as jamais aimé
Qule triste sort
peut être suis-je en tort
je ne sais que penser
si seulement tu pouvais m'aidée
Faut-il que je t'oubl?
mais cela prendra toute une vie
je crois,
que j'ai fait mon choix
l'échec m'est destiné
et rien ne pourra changer
même si c'est impossible
je vais essayer, alors que ce n'est plus possible...
Des mois se sont succéddé
et moi je suis toujours hanté
par ton visage
que je vois partout dans les nuages
ce soir, toujours le chemin habituel
toujours le même rituel
les yeux fermés
mais cette fois je me suis cognée
on m'a relevé
et j'ai failli hurler
tu était là, toi
devant moi
j'ai rougi
et tu m'as souri
Une amie,
c'est pour la vie
c'est ça l'amitiée
et ça ne pourra rien changé
même s'il y a la guerre
partout sur Terre
quelque part, quelqun fera un léger sourire
puis se feront entendre des rires
l'horreur
et la terreur
ne pourront jamais emprisonner l'amitiée
elle sera toujours en libertée
et il ne sera jamais autrement
rien, même les plus grans changements
c'est pour cela que je t'ais choisie
pour devenir mon amie
et j'espère que ce sera pour l'infini
et que notre amitiée ne tombera pas dans l'oubli...
un papillon vole
et moi je m'envole
j'aimerait que ce soit dans tes bras
qu'ils soient toujours ouvert et toujours là
mais ce n'est pas le cas,
car tu n'est pas là
si seulement tu m'aimait
si seulement tu me le disais
un jour
ceci ferais grandir mon amour
ce serais le plus beau jour de ma vie
et tu deviendrait plus qu'un ami...
Tant d'années ont passées
mais je ne t'ai pas oublié
toi tu est devenu si beau
que pour te décire, il n'existe aucun mots
toutes les filles te veulent
et moi je suis seule
à l'écart du monde
je ne suis pas dans cette ronde
de filles si belles
qu'elles semnblent iréels
la suite:
je n'ai aucune chance
je penche et balance
il vaut mieux abandonner
et mon histoire sera terminée
ou continuer encore
jusqu'à ma mort
mes rêves ne pourront plus se réaliser
jamais tu ne m'aimera, et sans doute tu ne m'as jamais aimé
Qule triste sort
peut être suis-je en tort
je ne sais que penser
si seulement tu pouvais m'aidée
Faut-il que je t'oubl?
mais cela prendra toute une vie
je crois,
que j'ai fait mon choix
l'échec m'est destiné
et rien ne pourra changer
même si c'est impossible
je vais essayer, alors que ce n'est plus possible...
Des mois se sont succéddé
et moi je suis toujours hanté
par ton visage
que je vois partout dans les nuages
ce soir, toujours le chemin habituel
toujours le même rituel
les yeux fermés
mais cette fois je me suis cognée
on m'a relevé
et j'ai failli hurler
tu était là, toi
devant moi
j'ai rougi
et tu m'as souri
Une amie,
c'est pour la vie
c'est ça l'amitiée
et ça ne pourra rien changé
même s'il y a la guerre
partout sur Terre
quelque part, quelqun fera un léger sourire
puis se feront entendre des rires
l'horreur
et la terreur
ne pourront jamais emprisonner l'amitiée
elle sera toujours en libertée
et il ne sera jamais autrement
rien, même les plus grans changements
c'est pour cela que je t'ais choisie
pour devenir mon amie
et j'espère que ce sera pour l'infini
et que notre amitiée ne tombera pas dans l'oubli...
Re: Poèmes
MORT SANS VIOLENCE
S’il me faut mourir,
Mourir de ta main
Pourrait être plein de charme.
Je mets une condition !
Ô bel hidalgo
Tu me dois bien ça.
S’il me faut mourir
Mourir de ta main
Que ce soit de plaisir
Au creux d’une nuit parfumée
Ô mon amant
D’éternité
S’il me faut mourir
Mourir de ta main
Alors mourons enlacés
Bercés par le chant des vagues
Ô Hyacinthe
Mon tant aimé.
S’il me faut mourir
Mourir de ta main
Le matin nous trouvera
Corps et âmes enchevêtrés
Offerts à l’orient
Le veux-tu mon tendre amour ?
S’il me faut mourir,
Mourir de ta main
Pourrait être plein de charme.
Je mets une condition !
Ô bel hidalgo
Tu me dois bien ça.
S’il me faut mourir
Mourir de ta main
Que ce soit de plaisir
Au creux d’une nuit parfumée
Ô mon amant
D’éternité
S’il me faut mourir
Mourir de ta main
Alors mourons enlacés
Bercés par le chant des vagues
Ô Hyacinthe
Mon tant aimé.
S’il me faut mourir
Mourir de ta main
Le matin nous trouvera
Corps et âmes enchevêtrés
Offerts à l’orient
Le veux-tu mon tendre amour ?
Re: Poèmes
Et pi un autre
SQUARE EN HIVER
Tout est silencieux
Dans l’immaculé de la neige
Immobilité feutrée
Égayée d’un vol d’oiseaux
La neige chante lumière
En éclats irisés de soleil
Le chêne-rouvre enfloconné
Se donne en superbe majesté
Les bancs délaissés
Emmitouflés de blancheur
Se parlent entre eux
Dans le silence des allées
Sur l’eau du lac,
Cygnes noirs et canards
Ont mis un bémol engourdi
A leurs ballets aquatiques
Dans sa beauté hivernale
En petit matin ensoleillé
Le jardin invite au recueillement
Le passant solitaire émerveillé
Tout est silencieux
Dans l’immaculé de la neige
Immobilité feutrée
Égayée d’un vol d’oiseaux
La neige chante lumière
En éclats irisés de soleil
Le chêne-rouvre enfloconné
Se donne en superbe majesté
Les bancs délaissés
Emmitouflés de blancheur
Se parlent entre eux
Dans le silence des allées
Sur l’eau du lac,
Cygnes noirs et canards
Ont mis un bémol engourdi
A leurs ballets aquatiques
Dans sa beauté hivernale
En petit matin ensoleillé
Le jardin invite au recueillement
Le passant solitaire émerveillé
Re: Poèmes
Perdus dans l'immensité
Brume aveuglante
Nous sommes étouffés
Pas moyen de perdre pied
A jamais
Dans l'éternité
Il n'y a pas de lumière
Pour nous éclairer
Elle ne fait que nous aveugler
Le traditionnel paradis
Devient alors pour nous
Un défis
Les ailes nous permettent de voler
Mais nous n'avons aucune liberté
C'est ça que vous nommez un ange ?
C'est étrange...
Penchés par dessu les nuages
A la recherche d'un regard
Tout n'est que mirage
Personne n'entend nos cris
Si intense soient-ils
Ils restent en suspend
N'atteignent pas la vie...
Tendez nous la main
A l'aube du petit matin
Cherchez nos visages angéliques
Comme le veut l'éthique
Les anges peuvent à nouveau mourir
Sans l'un de vos sourires
Les ailes nous permettent de voler
Mais nous n'avons aucune liberté
C'est ça que vous nommez un ange ?
C'est étrange...
Brume aveuglante
Nous sommes étouffés
Pas moyen de perdre pied
A jamais
Dans l'éternité
Il n'y a pas de lumière
Pour nous éclairer
Elle ne fait que nous aveugler
Le traditionnel paradis
Devient alors pour nous
Un défis
Les ailes nous permettent de voler
Mais nous n'avons aucune liberté
C'est ça que vous nommez un ange ?
C'est étrange...
Penchés par dessu les nuages
A la recherche d'un regard
Tout n'est que mirage
Personne n'entend nos cris
Si intense soient-ils
Ils restent en suspend
N'atteignent pas la vie...
Tendez nous la main
A l'aube du petit matin
Cherchez nos visages angéliques
Comme le veut l'éthique
Les anges peuvent à nouveau mourir
Sans l'un de vos sourires
Les ailes nous permettent de voler
Mais nous n'avons aucune liberté
C'est ça que vous nommez un ange ?
C'est étrange...
Re: Poèmes
J'ai bien parcouru son corps
Effleuré tant de fois son visage
J'ai trouvé bien beaucoup d'or
Et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
J'ai appris par coeur
La pureté de ses formes
Parfois, je les dessine encore
Elle fait partie de moi
La flèche a traversé ma peau
C'est une douleur qui se garde
Qui fait plus de bien que de mal
Mais je connais l'histoire
Il est déjà trop tard
Dans son regard
On peut apercevoir
Qu'elle se prépare
Au long départ
Effleuré tant de fois son visage
J'ai trouvé bien beaucoup d'or
Et même quelques étoiles
En essuyant ses larmes
J'ai appris par coeur
La pureté de ses formes
Parfois, je les dessine encore
Elle fait partie de moi
La flèche a traversé ma peau
C'est une douleur qui se garde
Qui fait plus de bien que de mal
Mais je connais l'histoire
Il est déjà trop tard
Dans son regard
On peut apercevoir
Qu'elle se prépare
Au long départ
Steuf OM- Invité
Re: Poèmes
Moi j'ai écrit un petit vers ^^
Alors que votre flamme s'anime,
On vous l'éteint avec de la soie,
Et vous sombrez dans les abimes,
De cette haine sans foi ni loi
Essayez de traduire lol
Alors que votre flamme s'anime,
On vous l'éteint avec de la soie,
Et vous sombrez dans les abimes,
De cette haine sans foi ni loi
Essayez de traduire lol
Re: Poèmes
Plongez en moi, je m'ouvre une dernière fois
J'ai touché le fond, j'ai perdu ma voix
Plongez en moi, elle a défié les sons
J'ai tatoué mon âme
La chaleur d'une femme
J'ai appris à naître
Elle cogne dans ma tête
Ce soir nos deux corps se mêlent
Fiers d'une étreinte parfaite
Et si elle veut la vie
Moi je lui donne la mienne
Elle a su m'affranchir
De mes souvenirs
Nos deux corps se mêlent
Elle cogne dans ma tête
J'ai touché le fond, j'ai perdu ma voix
Plongez en moi, elle a défié les sons
J'ai tatoué mon âme
La chaleur d'une femme
J'ai appris à naître
Elle cogne dans ma tête
Ce soir nos deux corps se mêlent
Fiers d'une étreinte parfaite
Et si elle veut la vie
Moi je lui donne la mienne
Elle a su m'affranchir
De mes souvenirs
Nos deux corps se mêlent
Elle cogne dans ma tête
Steuf OM- Invité
Re: Poèmes
Alors moi c'etait en CM1 j'avias un chat qui s'appelait ROYAL, et on avait un devoir sur les Acrostiches
Regarde et se souvient
Oreilles qui écoutent
Yeux brillant dans le noir
Ah ! Quel chat doux
Le seul chat qui aime la brioche
Bon j'avais 9 ans alors interdit de se moquer :p
Regarde et se souvient
Oreilles qui écoutent
Yeux brillant dans le noir
Ah ! Quel chat doux
Le seul chat qui aime la brioche
Bon j'avais 9 ans alors interdit de se moquer :p
Topaze- *
- Messages : 49
Inscrit(e) le : 12/09/2005
Re: Poèmes
ESSAI DE HAÏKU …
Plume au caramel
Fleur d’alouette
Se donne en grisolle
*******
Nuages effilochés
Au bleu de l’azur
Ailes du sage
*******
Comme un papillon
Sur gazelle posé
Mon baiser sur tes yeux
*******
A quoi rêve une fleur
Dans sa corolle ?
A toi mon amour ….
*******
Pluie dans les champs
Larmes des anges
Céladons des coquelicots
*******
Blanche sur la neige
L’hermine
Harmonie
***********
Plume au caramel
Fleur d’alouette
Se donne en grisolle
*******
Nuages effilochés
Au bleu de l’azur
Ailes du sage
*******
Comme un papillon
Sur gazelle posé
Mon baiser sur tes yeux
*******
A quoi rêve une fleur
Dans sa corolle ?
A toi mon amour ….
*******
Pluie dans les champs
Larmes des anges
Céladons des coquelicots
*******
Blanche sur la neige
L’hermine
Harmonie
***********
Chantal 2005
Re: Poèmes
Mon corps réclame
Mon corps me parle à sa façon,
Il me dit simplement d'aimer,
D'aimer sans restriction,
Mon corps manque de baisers,
Les semaines, les mois passent,
Je ne me sens même plus femme,
Je suis bien trop souvent lasse,
Et les larmes envahissent mon âme,
Comment fait on l'amour ? Je ne sais plus,
Pourtant avec les mots, je joue du sensuel,
Comment vivre en ce jour ? Je n'y crois plus,
Je voudrais de nouveau connaitre le charnel,
Quand une femme gourmande se punit,
S'interdit de gouter aux plaisirs de la vie,
Quand elle s'isole pour ne plus y penser,
Afin d'oublier qu'elle ne sait plus aimer,
Quand mon corps affamé reclame tes mains,
Mais que pourtant il ne peut aller plus loin,
Quand je te dis non, que mon âme crie oui,
Je perds la raison, je souffre de cette vie,
Je suis seule ce soir encore,
Refusant de rejoindre mes rêves,
Je ne peux nourrir mon corps,
Mes songes n'ont pas de sève,
Qu'importe si demain, épuisée,
Je ne peux plus travailler,
La maison attendra pour la tapisserie,
Par ce que vraiment là, si mal je suis,
Mon corps a besoin de caresses,
Mon coeur de mots qui consolent,
Ma vie qui si fort me blesse,
Mes joies, mes nuits, me volent,
Je suis lasse et épuisée,
Seule et fatiguée,
Je voudrais seulement aimer,
Et dans tes bras me rechauffer,
Pourquoi ce bloquage qui me détruit,
Pourquoi je ne peux plus être femme,
Je croyais pourtant que les plaisirs de la vie,
Apaisaient et nourrissaient nos âmes,
Mon corps me parle, je le sais,
Il réclame tes mains, tes baisers,
Toi qui d'amour m'appaiserait,
Aide moi à l'apprivoiser,
Ma poitrine est douloureuse et gonflée,
Les hormones me jouent de sales tours,
Parfois j'observe un écoulement de lait,
Je crois que mon corps veut donner le jour,
Je suis née pour les grossesses,
J'aime donner la vie en tendresse,
Quoi de plus beau qu'un ventre rebondi,
Rien ne remplace le bonheur d'offrir la vie,
Mais pour être enceinte encore faut il,
Pouvoir accepter ton corps en moi,
Cela peut paraitre bien futile,
Mais je t'assure, je ne peux pas,
La maladie qui est présente,
Parfois un peu plus lancinante,
Les cauchemars qui me hantent,
Les douleurs deviennent brulantes,
J'ai mal et je suis affamée,
De tes mains, de tes baisers,
Rien ne pourrait plus m'appaiser,
Que de faire l'amour en beauté ....
Ceandy
Mon corps me parle à sa façon,
Il me dit simplement d'aimer,
D'aimer sans restriction,
Mon corps manque de baisers,
Les semaines, les mois passent,
Je ne me sens même plus femme,
Je suis bien trop souvent lasse,
Et les larmes envahissent mon âme,
Comment fait on l'amour ? Je ne sais plus,
Pourtant avec les mots, je joue du sensuel,
Comment vivre en ce jour ? Je n'y crois plus,
Je voudrais de nouveau connaitre le charnel,
Quand une femme gourmande se punit,
S'interdit de gouter aux plaisirs de la vie,
Quand elle s'isole pour ne plus y penser,
Afin d'oublier qu'elle ne sait plus aimer,
Quand mon corps affamé reclame tes mains,
Mais que pourtant il ne peut aller plus loin,
Quand je te dis non, que mon âme crie oui,
Je perds la raison, je souffre de cette vie,
Je suis seule ce soir encore,
Refusant de rejoindre mes rêves,
Je ne peux nourrir mon corps,
Mes songes n'ont pas de sève,
Qu'importe si demain, épuisée,
Je ne peux plus travailler,
La maison attendra pour la tapisserie,
Par ce que vraiment là, si mal je suis,
Mon corps a besoin de caresses,
Mon coeur de mots qui consolent,
Ma vie qui si fort me blesse,
Mes joies, mes nuits, me volent,
Je suis lasse et épuisée,
Seule et fatiguée,
Je voudrais seulement aimer,
Et dans tes bras me rechauffer,
Pourquoi ce bloquage qui me détruit,
Pourquoi je ne peux plus être femme,
Je croyais pourtant que les plaisirs de la vie,
Apaisaient et nourrissaient nos âmes,
Mon corps me parle, je le sais,
Il réclame tes mains, tes baisers,
Toi qui d'amour m'appaiserait,
Aide moi à l'apprivoiser,
Ma poitrine est douloureuse et gonflée,
Les hormones me jouent de sales tours,
Parfois j'observe un écoulement de lait,
Je crois que mon corps veut donner le jour,
Je suis née pour les grossesses,
J'aime donner la vie en tendresse,
Quoi de plus beau qu'un ventre rebondi,
Rien ne remplace le bonheur d'offrir la vie,
Mais pour être enceinte encore faut il,
Pouvoir accepter ton corps en moi,
Cela peut paraitre bien futile,
Mais je t'assure, je ne peux pas,
La maladie qui est présente,
Parfois un peu plus lancinante,
Les cauchemars qui me hantent,
Les douleurs deviennent brulantes,
J'ai mal et je suis affamée,
De tes mains, de tes baisers,
Rien ne pourrait plus m'appaiser,
Que de faire l'amour en beauté ....
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Desespérée,
Ce soir je lance un appel,
A l'amitié, qui est si belle,
Je ne peux pas m'endormir,
Sans avoir reçu un sourire,
J'ai l'impression de devenir folle,
Que je joue un fort mauvais rôle,
J'ai besoin ce soir d'une épaule,
Et d'un sourire qui me console,
Qui appeler, tout le monde dort,
Besoin de parler, de réconfort,
Qui inviter pour un tardif café,
Juste pour pouvoir me confier,
Petite Prune qui ne dort pas,
Ce soir ne me ménage pas,
Charlène et Rémi sont endormis,
Julien doit l'être aussi,
Maman est lasse en cette nuit,
Elle aurait tant besoin d'amis,
Mais tout le monde se repose,
Alors pour oublier, je compose,
Mes poèmes qui parlent trop,
A ceux qui savent les déchiffrer,
Ma thérapie, mes soins, sont ces mots,
Que j'aime tant faire rimer,
N'y a t il personne en cette nuit,
Qui ne soit pas encore endormi,
Juste une amie, un soutien,
Pour parler de tout et de rien,
Je suis maman à plein temps,
Mes journées sont occupées,
A mes petits monstres que j'aime tant,
Ce soir, le femme souhaite ressuciter,
Parfois je donne beaucoup,
Je me prends aussi des coups,
Je donne sans jamais compter,
Mais ce soir, j'ai besoin d'amitié...
Ceandy
Ce soir je lance un appel,
A l'amitié, qui est si belle,
Je ne peux pas m'endormir,
Sans avoir reçu un sourire,
J'ai l'impression de devenir folle,
Que je joue un fort mauvais rôle,
J'ai besoin ce soir d'une épaule,
Et d'un sourire qui me console,
Qui appeler, tout le monde dort,
Besoin de parler, de réconfort,
Qui inviter pour un tardif café,
Juste pour pouvoir me confier,
Petite Prune qui ne dort pas,
Ce soir ne me ménage pas,
Charlène et Rémi sont endormis,
Julien doit l'être aussi,
Maman est lasse en cette nuit,
Elle aurait tant besoin d'amis,
Mais tout le monde se repose,
Alors pour oublier, je compose,
Mes poèmes qui parlent trop,
A ceux qui savent les déchiffrer,
Ma thérapie, mes soins, sont ces mots,
Que j'aime tant faire rimer,
N'y a t il personne en cette nuit,
Qui ne soit pas encore endormi,
Juste une amie, un soutien,
Pour parler de tout et de rien,
Je suis maman à plein temps,
Mes journées sont occupées,
A mes petits monstres que j'aime tant,
Ce soir, le femme souhaite ressuciter,
Parfois je donne beaucoup,
Je me prends aussi des coups,
Je donne sans jamais compter,
Mais ce soir, j'ai besoin d'amitié...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Désolée si je baisse le niveau...
Tu te lèveras
T’appuyant, tu es hésitante,
Pleurnichant, mais battante,
Ô femme, tu te lèveras.
Tu as souffert, un peu trop subi
Tu as accepté, oui…
Mais femme, tu te lèveras.
Il n’est rien qui enlève à la femme
Sa grandeur et sa force d’âme
Car c’est un être immortel
Qui survivra au cours des siècles.
Regardant, et fixant les gens
Bête sauvage mais si lente
Ô femme, tu te lèveras.
Tu ne sais pas, pas comment t’y prendre
Maladroite en silence
Mais femme tu te lèveras.
Et cette femme a voulu tant de nuits
S’éteindre sans un bruit
Pour qu’on ne la remarque pas
Mais un jour, sa honte s’effacera.
Femme, pure, tu te lèveras !
Femme forte, tu te lèveras !
Femme souillée, tu revivras…
Pleurnichant, mais battante,
Ô femme, tu te lèveras.
Tu as souffert, un peu trop subi
Tu as accepté, oui…
Mais femme, tu te lèveras.
Il n’est rien qui enlève à la femme
Sa grandeur et sa force d’âme
Car c’est un être immortel
Qui survivra au cours des siècles.
Regardant, et fixant les gens
Bête sauvage mais si lente
Ô femme, tu te lèveras.
Tu ne sais pas, pas comment t’y prendre
Maladroite en silence
Mais femme tu te lèveras.
Et cette femme a voulu tant de nuits
S’éteindre sans un bruit
Pour qu’on ne la remarque pas
Mais un jour, sa honte s’effacera.
Femme, pure, tu te lèveras !
Femme forte, tu te lèveras !
Femme souillée, tu revivras…
Re: Poèmes
D'un homme à son amour,
Il posait ses mains sur elle de toute sa tendresse,
Elle qui pour lui était bien plus qu'une déesse,
Susurrant doucement quelques mots de douceur,
Caressant ses formes, s'arrêtant sur ses rondeurs,
"Je t'aime mon amour, je t'aimerai toujours",
Disait il alors d'une voix très douce,
"Tu vas vivre je le sais, je vais tout faire pour,
Et la vie sera belle, car l'amour nous pousse",
Tendrement, il lui contait ses attentes,
Et combien l'amour vrai le hante,
Se laissant emporter par une envie de futur,
Il décrivait alors, de vrais moments purs,
L'été sera doux et l'automne sera beau,
Il dit des mots doux et là caresse de ces mots,
"Nous compterons tes printemps et les ferons fleurir,
Mes cheveux grisonnants t'observeront grandir,
Ce médecin qui nous donne si peu d'espoir,
Ne peut ainsi plonger ma vie dans le noir,
Tu vivras mon amour, ça j'en suis certain,
Si tu y crois à ton tour, tu auras ce destin,
Il te faut juste rester bien au chaud,
Encore quelques mois dans ta bulle d'eau,
Quand enfin la force sera ton droit,
Tu viendras au monde et nous serons là",
Caressant de nouveau les rondeurs de sa femme,
Il disait ces mots en douceur et en larmes,
De petits ruisseaux coulaient sur les joues de sa dame,
"Nous vaincrons" dit il "l'amour est notre arme",
"Cette déclaration d'amour que je te dis,
A toi, pour toujours, mon cher petit,
J'attends avec hâte que tu voies le jour,
Pour te donner plus que des mots d'amour,
Alors je t'en prie, mon cher enfant,
Ne sois pas pressé et prends bien ton temps,
Demain sera là, ou nous serons trois,
Ta maman, enfin, te prendra dans ses bras " !
Ceandy
Il posait ses mains sur elle de toute sa tendresse,
Elle qui pour lui était bien plus qu'une déesse,
Susurrant doucement quelques mots de douceur,
Caressant ses formes, s'arrêtant sur ses rondeurs,
"Je t'aime mon amour, je t'aimerai toujours",
Disait il alors d'une voix très douce,
"Tu vas vivre je le sais, je vais tout faire pour,
Et la vie sera belle, car l'amour nous pousse",
Tendrement, il lui contait ses attentes,
Et combien l'amour vrai le hante,
Se laissant emporter par une envie de futur,
Il décrivait alors, de vrais moments purs,
L'été sera doux et l'automne sera beau,
Il dit des mots doux et là caresse de ces mots,
"Nous compterons tes printemps et les ferons fleurir,
Mes cheveux grisonnants t'observeront grandir,
Ce médecin qui nous donne si peu d'espoir,
Ne peut ainsi plonger ma vie dans le noir,
Tu vivras mon amour, ça j'en suis certain,
Si tu y crois à ton tour, tu auras ce destin,
Il te faut juste rester bien au chaud,
Encore quelques mois dans ta bulle d'eau,
Quand enfin la force sera ton droit,
Tu viendras au monde et nous serons là",
Caressant de nouveau les rondeurs de sa femme,
Il disait ces mots en douceur et en larmes,
De petits ruisseaux coulaient sur les joues de sa dame,
"Nous vaincrons" dit il "l'amour est notre arme",
"Cette déclaration d'amour que je te dis,
A toi, pour toujours, mon cher petit,
J'attends avec hâte que tu voies le jour,
Pour te donner plus que des mots d'amour,
Alors je t'en prie, mon cher enfant,
Ne sois pas pressé et prends bien ton temps,
Demain sera là, ou nous serons trois,
Ta maman, enfin, te prendra dans ses bras " !
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Coluche a écrit:Ceandy
Poil au kiki...
Je sais quel poete je fais
oui oui poil au nez
Ah ? et quel poète tu fais ?
Chut,
Chut, écoutes ce léger bruit,
Le souffle du vent dans la nuit,
On dirait que la foret s'est endormie,
Regarde, comme la lune brille,
Chut, ne fais pas de bruit,
Profite de cette accalmie,
Nous sommes au paradis,
Vivons ensemble cette magie,
Chut, entends ce petit bruit,
Notre coeur qui bat à l'infini,
Et dans tes bras, je me blottis,
Puisque je t'aime pour la vie,
Chut, nous voici réunis,
Toi et moi, à l'infini,
Rien ne nous est interdit,
Je t'aime mon chéri ...
Ceandy
Chut, écoutes ce léger bruit,
Le souffle du vent dans la nuit,
On dirait que la foret s'est endormie,
Regarde, comme la lune brille,
Chut, ne fais pas de bruit,
Profite de cette accalmie,
Nous sommes au paradis,
Vivons ensemble cette magie,
Chut, entends ce petit bruit,
Notre coeur qui bat à l'infini,
Et dans tes bras, je me blottis,
Puisque je t'aime pour la vie,
Chut, nous voici réunis,
Toi et moi, à l'infini,
Rien ne nous est interdit,
Je t'aime mon chéri ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Charlene
Quand je l'ai reçue en cadeau,
J'ai trouvé cette poupée si jolie,
Emmitouflée dans son manteau,
On pouvait la croire en vie,
Mais il s’agissait d'une porcelaine,
La toute première de ma série,
Elle s'appelait Lady Charlene,
C'est le prénom que je t'ai choisi,
Tu es aussi belle que cette poupée,
Et tes yeux verts me font rêver,
Toi mon Amour, ma petite fille,
Ma poupée à qui j'ai donné vie,
Pas besoin de belles toilettes,
Ni de robes à dentelles,
Car tu es, petite fillette,
Pour ta Maman, la plus belle,
Quand je l'ai reçue en cadeau,
Que j'ai trouvé cette poupée si jolie,
Mon ventre était déjà très gros,
Tu devais t'appeler Coralie,
Mais cette charmante porcelaine,
Aux yeux verts et cheveux bouclés,
Souhaitait que son nom tu prennes,
Et c'est ainsi que Charlene est née ...
Ceandy
Quand je l'ai reçue en cadeau,
J'ai trouvé cette poupée si jolie,
Emmitouflée dans son manteau,
On pouvait la croire en vie,
Mais il s’agissait d'une porcelaine,
La toute première de ma série,
Elle s'appelait Lady Charlene,
C'est le prénom que je t'ai choisi,
Tu es aussi belle que cette poupée,
Et tes yeux verts me font rêver,
Toi mon Amour, ma petite fille,
Ma poupée à qui j'ai donné vie,
Pas besoin de belles toilettes,
Ni de robes à dentelles,
Car tu es, petite fillette,
Pour ta Maman, la plus belle,
Quand je l'ai reçue en cadeau,
Que j'ai trouvé cette poupée si jolie,
Mon ventre était déjà très gros,
Tu devais t'appeler Coralie,
Mais cette charmante porcelaine,
Aux yeux verts et cheveux bouclés,
Souhaitait que son nom tu prennes,
Et c'est ainsi que Charlene est née ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
c'est pas entierement des poemes mais ... enfin dites moi ce que vous en pensez svp
C'était peut-être en rêve, du moins j'aurais voulu. Les gens me regardaient comme si je n'existais plus. J'avais beau sourire et aimer,
j'étais seul. On préférait éviter ma présence, et les perdus répétaient dans mon dos, "regardez ce que ça fait de vivre..." Il était midi.
J'ai levé la tête et j'ai regardé les étoiles dans le ciel bleu. Et puis soudain j'ai eu peur de vivre. J'ai eu peur de ce que j'avais aimé.
Et puis je suis rentré chez moi sans rien dire. Je n'ai pas fermé la porte, de peur que quelqu'un vienne à entrer. Et puis
j'ai pensé que je venais de re-mourir. Mais j'avais existé. J'avais laissé une trace de ma vie quelque part, pas grand-chose,
une brûlure de cigarette sur une table, un billet de cinéma abandonné dans une veste portée. Et puis les couleurs sont revenues,
et j'en ai perdu la vie. Les gens ne m'ont plus jamais regardés, et ils en sont morts, morts de n'avoir pas su vivre,
mort comme je vais bientôt mourir. Cigarette...
Re: Poèmes
Moi j'en ai deux petits, essayez de trouver ce que ça veux dire:
Alors que votre flamme s'anime,
On vous l'éteint avec de la soie,
Et vous sombrez dans les noirs abimes,
De cette haine sans fois ni lois
Sinon j'ai:
Osez défier la nature,
Voyez ce qu'elle est capable,
Et de ce beau corps si pur,
Mourrez juste, cartes sur table
Alors que votre flamme s'anime,
On vous l'éteint avec de la soie,
Et vous sombrez dans les noirs abimes,
De cette haine sans fois ni lois
Sinon j'ai:
Osez défier la nature,
Voyez ce qu'elle est capable,
Et de ce beau corps si pur,
Mourrez juste, cartes sur table
Re: Poèmes
Seules,
Pour toutes les personnes dont l'âme est en peine,
Ceux qui ont froid dès le matin au réveil,
Celles qui n'ont pas de toit pour dormir,
A tous ceux qui n'ont pas de repas quotidien,
Ces personnes qui pudiques ne demandent rien,
Qui sont seules et se cachent au risque de souffrir,
Ouvrez votre coeur, faites entrer le soleil,
N'attendez pas qu'ils soient plus dans la gène,
Donner une pièce, offrir un sourire,
Cela ne nous empechera pas de dormir,
Tendre la main, aider au quotidien,
Pour nous c'est peu, mais pour elles ce n'est pas rien,
J'entends dire parfois que les " sans abris ",
Sont des gens qui trichent pour toucher notre coeur,
N'empèche que pour ne pas les laisser ainsi,
Ne vaut il pas mieux donner que commettre une erreur ?,
Bien sur, certains sont menteurs,
Mais pour d'autres la rue est leur vie,
Un euro vous priverait il de coeur ?,
N'affamons pas les plus démunis,
Même si nous aussi parfois, devons jongler,
Pour finir le mois sans trop de dégats,
Donner du pain, apporter un soutien,
Voilà qui les aidera à moindres frais,
Beaucoup sont touchés par un animal seul,
Le caressent, le nourrissent et parfois l'accueillent,
Et ces gens qui tentent de survivre sans un rond,
Qui passent l'hiver couché sous des cartons,
L'état fait beaucoup mais ne fait pas tout,
Soyons solidaires, donnons un peu de nous,
Un mot aimable, un geste de chaleur ne nous nuiera pas,
Donnons de l'estime à ceux qui n'ont pas de toit ...
Ceandy
Pour toutes les personnes dont l'âme est en peine,
Ceux qui ont froid dès le matin au réveil,
Celles qui n'ont pas de toit pour dormir,
A tous ceux qui n'ont pas de repas quotidien,
Ces personnes qui pudiques ne demandent rien,
Qui sont seules et se cachent au risque de souffrir,
Ouvrez votre coeur, faites entrer le soleil,
N'attendez pas qu'ils soient plus dans la gène,
Donner une pièce, offrir un sourire,
Cela ne nous empechera pas de dormir,
Tendre la main, aider au quotidien,
Pour nous c'est peu, mais pour elles ce n'est pas rien,
J'entends dire parfois que les " sans abris ",
Sont des gens qui trichent pour toucher notre coeur,
N'empèche que pour ne pas les laisser ainsi,
Ne vaut il pas mieux donner que commettre une erreur ?,
Bien sur, certains sont menteurs,
Mais pour d'autres la rue est leur vie,
Un euro vous priverait il de coeur ?,
N'affamons pas les plus démunis,
Même si nous aussi parfois, devons jongler,
Pour finir le mois sans trop de dégats,
Donner du pain, apporter un soutien,
Voilà qui les aidera à moindres frais,
Beaucoup sont touchés par un animal seul,
Le caressent, le nourrissent et parfois l'accueillent,
Et ces gens qui tentent de survivre sans un rond,
Qui passent l'hiver couché sous des cartons,
L'état fait beaucoup mais ne fait pas tout,
Soyons solidaires, donnons un peu de nous,
Un mot aimable, un geste de chaleur ne nous nuiera pas,
Donnons de l'estime à ceux qui n'ont pas de toit ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Notes d'Or,
Ses mains se faisaient tièdes, sur son corps,
Caressant chaque courbes, chaque mont d'or,
S'arretant sur ses seins, s'amusant à voir se dresser,
Les tétons qui par les doigts étaient fort titillés,
Finalement, ses mains négocient un virage,
Préférant caresser les hanches de son ange,
Qu'il est bon d'aimer, peu importe l'âge,
Les plaisirs érotiques personne ne dérangent,
Elle se cambre et gémit de tant de plaisirs,
Il s'enhardit ce soir à lui faire découvrir,
Que ses mains et ses lèvres partagent en cette nuit,
Toute la rage et la fièvre qui consumment sa vie,
Elle reçoit alors des milliers de sensations,
Il lui donne tellement de doux frissons,
Se décidant à lui faire le même ouvrage,
Elle l'embrasse, le cajole, et lui rend hommage,
Les amants cette nuit se sont découverts,
Une passion, un désir dont ils sont si fiers,
Ils se font des caresses, elle embrasse son art,
Il l'innonde de ses perles d'un si doux nectar,
Abreuvée et nourrie au plus profond de son être,
Elle s'endort dans les bras de l'homme qu'elle adore,
Il a été cette nuit un excellent maître,
Et l'élève a fait murir bien des notes d'or ...
Ceandy
Ses mains se faisaient tièdes, sur son corps,
Caressant chaque courbes, chaque mont d'or,
S'arretant sur ses seins, s'amusant à voir se dresser,
Les tétons qui par les doigts étaient fort titillés,
Finalement, ses mains négocient un virage,
Préférant caresser les hanches de son ange,
Qu'il est bon d'aimer, peu importe l'âge,
Les plaisirs érotiques personne ne dérangent,
Elle se cambre et gémit de tant de plaisirs,
Il s'enhardit ce soir à lui faire découvrir,
Que ses mains et ses lèvres partagent en cette nuit,
Toute la rage et la fièvre qui consumment sa vie,
Elle reçoit alors des milliers de sensations,
Il lui donne tellement de doux frissons,
Se décidant à lui faire le même ouvrage,
Elle l'embrasse, le cajole, et lui rend hommage,
Les amants cette nuit se sont découverts,
Une passion, un désir dont ils sont si fiers,
Ils se font des caresses, elle embrasse son art,
Il l'innonde de ses perles d'un si doux nectar,
Abreuvée et nourrie au plus profond de son être,
Elle s'endort dans les bras de l'homme qu'elle adore,
Il a été cette nuit un excellent maître,
Et l'élève a fait murir bien des notes d'or ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Haillon, Souillon, Ceandryon
Ma marraine à moi, n'est pas une fée,
Ma maman pas une maratre bien au contraire,
Je n'ai pas de chien Pataud, ni de chat Lucifer,
Mon royaume est une hlm plutôt surpeuplée,
L'argent ne coule pas à flots sur mon compte,
Je ne reçois pas d'invitations aux bals,
Pas de serviteurs, non plus quelle honte,
Je fais mon ménage tant bien que mal,
Les souris m'effraient c'est un drame,
Les oiseaux chantent bien mieux que moi,
Je suis loin d'être une belle et grande dame,
Mon prince ne sera jamais vraiment roi,
Mes cheveux ne sont pas couleur de blé,
Et mon corps n'est pas celui d'une déesse,
Je ne porte pas de toilettes qui font rêver,
Et dans la vie, beaucoup de choses me blessent,
Vous voyez je n'ai rien d'une princesse,
A part peut être les haillons de souillon,
Et pourtant depuis toujours je le confesse,
Je porte le surnom de Ceandryon
Ceandy
Ma marraine à moi, n'est pas une fée,
Ma maman pas une maratre bien au contraire,
Je n'ai pas de chien Pataud, ni de chat Lucifer,
Mon royaume est une hlm plutôt surpeuplée,
L'argent ne coule pas à flots sur mon compte,
Je ne reçois pas d'invitations aux bals,
Pas de serviteurs, non plus quelle honte,
Je fais mon ménage tant bien que mal,
Les souris m'effraient c'est un drame,
Les oiseaux chantent bien mieux que moi,
Je suis loin d'être une belle et grande dame,
Mon prince ne sera jamais vraiment roi,
Mes cheveux ne sont pas couleur de blé,
Et mon corps n'est pas celui d'une déesse,
Je ne porte pas de toilettes qui font rêver,
Et dans la vie, beaucoup de choses me blessent,
Vous voyez je n'ai rien d'une princesse,
A part peut être les haillons de souillon,
Et pourtant depuis toujours je le confesse,
Je porte le surnom de Ceandryon
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Toi, mon Ange
Loin de son Ange, elle s'effondre alors,
Prise de vertiges, et d'une sensation bizarre,
Etrange que son Ange, ait besoin de réconfort,
Réconfort qu'il espère dans les bras du hasard,
Elle aura tout tenté pour le retenir, mais en vain,
Il a souhaité loin d'elle partir, c'est son destin,
Malgré les longs dialogues, il a fait son choix ce soir,
Ne reste alors que le monologue, elle connait le desespoir,
Au bout du chemin, après son retour, il lui tendra les bras,
Mais elle sait fort bien, qu'elle ne lui pardonnera pas,
Comment pourrait elle oublier, que pour aimer une autre il est parti,
Comment pourrait elle effacer, l'odeur de cet autre corps sur lui,
Elle n'est pas rancunière pourtant, mais si l'amour est à sens unique,
C'est un sentiment que peu de gens finalement, vivent sans panique,
On ne peut décemment pas aimer une femme, en étant dans le lit d'une amie,
On ne peut que rarement raviver la flamme, qui s'est éteinte en cette nuit,
La magie est souvent synonyme de bonheur, mais pour elle ce soir la féérie est partie,
Puisque c'est un moment intense d'amour partagé, que son Ange a vécu avec une autre fille,
Et puis si finalement, il lui dit que rien ne s'est passé, comment oublier qu il aura tout tenté,
Avoir des relations intimes est un geste d'amour, qui se vit seulement avec l'être aimé,
On ne peut pas pretendre faire l'amour sans attaches,
On ne peut pas affirmer que c'est un moment sans tendresse,
Il est facile ensuite pour raccomoder sans taches,
De dire que l'on regrette cet instant d'ivresse,
Pour une femme aimante, savoir son Ange ailleurs,
C'est une epreuve qu'elle ne vivra pas sans frayeur,
Pour un homme amoureux, faire l'amour à une autre fille,
C'est quelque part risquer de perdre l'amour de sa vie,
En valait elle la peine, cette amie qui te sert dans ses bras,
A l'heure ou j'écris ce poème, tu t'éloignes à jamais de moi,
Dis moi, cela valait il le coup finalement de tout briser,
Pour aller vivre ailleurs ces quelques moments d'intimité,
Et si tu me dis que rien ne s'est passé,
Je ne pourrais oublier que tu auras essayé,
Ce petit poème ce soir pour te dire adieu,
A toi petit ange que j'aurai pu rendre heureux ...
Ceandy
Loin de son Ange, elle s'effondre alors,
Prise de vertiges, et d'une sensation bizarre,
Etrange que son Ange, ait besoin de réconfort,
Réconfort qu'il espère dans les bras du hasard,
Elle aura tout tenté pour le retenir, mais en vain,
Il a souhaité loin d'elle partir, c'est son destin,
Malgré les longs dialogues, il a fait son choix ce soir,
Ne reste alors que le monologue, elle connait le desespoir,
Au bout du chemin, après son retour, il lui tendra les bras,
Mais elle sait fort bien, qu'elle ne lui pardonnera pas,
Comment pourrait elle oublier, que pour aimer une autre il est parti,
Comment pourrait elle effacer, l'odeur de cet autre corps sur lui,
Elle n'est pas rancunière pourtant, mais si l'amour est à sens unique,
C'est un sentiment que peu de gens finalement, vivent sans panique,
On ne peut décemment pas aimer une femme, en étant dans le lit d'une amie,
On ne peut que rarement raviver la flamme, qui s'est éteinte en cette nuit,
La magie est souvent synonyme de bonheur, mais pour elle ce soir la féérie est partie,
Puisque c'est un moment intense d'amour partagé, que son Ange a vécu avec une autre fille,
Et puis si finalement, il lui dit que rien ne s'est passé, comment oublier qu il aura tout tenté,
Avoir des relations intimes est un geste d'amour, qui se vit seulement avec l'être aimé,
On ne peut pas pretendre faire l'amour sans attaches,
On ne peut pas affirmer que c'est un moment sans tendresse,
Il est facile ensuite pour raccomoder sans taches,
De dire que l'on regrette cet instant d'ivresse,
Pour une femme aimante, savoir son Ange ailleurs,
C'est une epreuve qu'elle ne vivra pas sans frayeur,
Pour un homme amoureux, faire l'amour à une autre fille,
C'est quelque part risquer de perdre l'amour de sa vie,
En valait elle la peine, cette amie qui te sert dans ses bras,
A l'heure ou j'écris ce poème, tu t'éloignes à jamais de moi,
Dis moi, cela valait il le coup finalement de tout briser,
Pour aller vivre ailleurs ces quelques moments d'intimité,
Et si tu me dis que rien ne s'est passé,
Je ne pourrais oublier que tu auras essayé,
Ce petit poème ce soir pour te dire adieu,
A toi petit ange que j'aurai pu rendre heureux ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Douce nuit,
Ma plume s'endort aujourd'hui,
Les mots d'or, deviennent d'argent,
Pour quelles raisons ainsi est la vie,
Parfois je ris, je pleure souvent,
On dit joli tout ce que je compose,
Dans mes écrits, alors parfois j'ose,
Melanger sensuel et émotions,
Pour déclencher quelques frissons,
Mais parfois, la plume se fait distante,
Quand ma joie de vivre devient absente,
Et dans ces moments là, ou je n'écris pas,
Je me retrouve seule, à pleurer sur moi,
Pourtant j'ai conscience qu'il y a en ce monde,
Bien plus malheureux que je ne suis,
Alors l'amitié toujours féconde,
Apporte une étincelle dans mes nuits,
Je ne pleure plus sur mon sort,
Je suis grande maintenant,
Même si parfois quand je m'endors,
Les larmes glissent doucement,
Douce nuit à vous mes amis,
Plume ou clavier toujours fidèles,
Qui répondez à mes envies,
Et qui parfois faites la belle ...
Ceandy
Ma plume s'endort aujourd'hui,
Les mots d'or, deviennent d'argent,
Pour quelles raisons ainsi est la vie,
Parfois je ris, je pleure souvent,
On dit joli tout ce que je compose,
Dans mes écrits, alors parfois j'ose,
Melanger sensuel et émotions,
Pour déclencher quelques frissons,
Mais parfois, la plume se fait distante,
Quand ma joie de vivre devient absente,
Et dans ces moments là, ou je n'écris pas,
Je me retrouve seule, à pleurer sur moi,
Pourtant j'ai conscience qu'il y a en ce monde,
Bien plus malheureux que je ne suis,
Alors l'amitié toujours féconde,
Apporte une étincelle dans mes nuits,
Je ne pleure plus sur mon sort,
Je suis grande maintenant,
Même si parfois quand je m'endors,
Les larmes glissent doucement,
Douce nuit à vous mes amis,
Plume ou clavier toujours fidèles,
Qui répondez à mes envies,
Et qui parfois faites la belle ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Je suis jeune apprenti
Quand je te vois,
Je suis petrifier,
Par cette terrible beauté
Qui hantera a tous jamais
Toutes mes pensées
Pui-je te faire ,
Ce que je t'ai toujours voulu faire?
Pui-je te donner mon air,
A traver la bouche?
Déesse de la beauté,
Suis moi,suis moi a traver ton coeur
Pour que le mahleur,
Que j'âi endurer,
Puisse se transformer en bohnneur
Ciel,terre,univer
Mars Venus et Jupiter,
Sont tous d'accord,
D'accorder cette alliance,
Pour toucher nos corps.
Que le soleil,
Avant la veille,
Me laisse t'accorder,
Le baiser de l'eternité.
Encore une fois, mon triste Cœur, blessé, saigne,
Dans la haine et la ranCœur, désormais Il baigne ;
Ce Sang, par toi souillé, mon Sang, par toi violé,
N’a à présent plus rien de bon à te donner.
Je t’ai aimé, je t’ai tendu mon Cœur doré,
Dans tes salles mains, par de pauvres gants masqués,
Tu L’as ensuite, décapité, déchiré,
Comme Un morceau de papier, Un simple jouet.
On s’est promis ; mais sans doute tu as omis,
Que point l’amour ne peut remplacer l’Amitié,
Aveuglé, tu M’as malmené, très mal traité,
Sache que Je ne saurais jamais oublier.
Je ne saurais te pardonner, le mal causé ,
Ton insouciance, ton insensibilité,
Les quelques barrières que tu as mal placées ;
Par-dessus tout ma Confiance, bien trop négligée …
Tu m’as fait frissonner de joie, tressaillir de bonheur,
Mais ce qu’il me reste de ces moments magiques,
Me fait trembler d’effroi et me fend le cœur,
Car je ressens la peur enfouie d’une fin tragique.
Pour la 1ère fois j’ avais un meilleur ami,
Le sentiment que rien ne nous séparerait,
Le sentiment que l’on s’aimait, pour la vie,
Que pour rien au monde on ne se perdrait.
J’ ai poser mon passé sur tes oniriques fondations,
Que ton amour passion a rendu bouseuses,
Mon présent se noie dans le passé de mon affliction,
Et lui-même s’enfonce dans ta négligence aqueuse.
Mon amitié , tu l’as dissimulée derrière ce rideau rouge.
Hors de ta vue, elle a pris feu, et c’est transformé,
à cause d’un amour , qui t’ a perdu dans ses songes,
tu m’ as descendu clandestinement, et blessé.
La jalousie dont tu m’accusais, ne t’a point déstabilisée,
Tu t’es éloigné, comme si un coup de poignard
Je t’avais lâchement et injustement donné,
Mais je ne me suis point fais honneur de ce coup de connard !
J’ ai attendu , espéré, imaginé, rêvé,
Qu’au bout d’un moment tu reviendrais,
Mais de toute évidence je me sui trompé,
Car sans moi , entre nous, rien ne subsisterait !
Aujourd’hui je vis triste ,dans cet heureux souvenir,
Dans les limbes d’un passé que j’ aimerai retrouver,
Ce linceul macabre qui me suit, me rappelle que je dois partir,
Si enfin mon corps, mon âme, mon esprit, mon cœur je veux libérer.
Tu t’es tourné vers d’autres, refusant ma main,
Inversant les rôles, comme si j’ étais coupable,
La seule chose à me reprocher , c’est cet amour vain,
Car uniquement par toi mon cœur était touchable…
Maintenant, tu m’indiffères, le marbre recouvre enfin nos liens,
Tes mots, tes cassages, tes actions égoïstes me lassent,
Je suis essoufflé d’avoir couru tout ce temps pour rien,
Mon cœur à conçu cet anticorps, qui fait que lentement tu t’effaces,
Il est trop tard maintenant,
mon amitié, tu as bafouée,
Et que ce soit en rampant,
Le pris tu devras payer…
Quand je te vois,
Je suis petrifier,
Par cette terrible beauté
Qui hantera a tous jamais
Toutes mes pensées
Pui-je te faire ,
Ce que je t'ai toujours voulu faire?
Pui-je te donner mon air,
A traver la bouche?
Déesse de la beauté,
Suis moi,suis moi a traver ton coeur
Pour que le mahleur,
Que j'âi endurer,
Puisse se transformer en bohnneur
Ciel,terre,univer
Mars Venus et Jupiter,
Sont tous d'accord,
D'accorder cette alliance,
Pour toucher nos corps.
Que le soleil,
Avant la veille,
Me laisse t'accorder,
Le baiser de l'eternité.
Encore une fois, mon triste Cœur, blessé, saigne,
Dans la haine et la ranCœur, désormais Il baigne ;
Ce Sang, par toi souillé, mon Sang, par toi violé,
N’a à présent plus rien de bon à te donner.
Je t’ai aimé, je t’ai tendu mon Cœur doré,
Dans tes salles mains, par de pauvres gants masqués,
Tu L’as ensuite, décapité, déchiré,
Comme Un morceau de papier, Un simple jouet.
On s’est promis ; mais sans doute tu as omis,
Que point l’amour ne peut remplacer l’Amitié,
Aveuglé, tu M’as malmené, très mal traité,
Sache que Je ne saurais jamais oublier.
Je ne saurais te pardonner, le mal causé ,
Ton insouciance, ton insensibilité,
Les quelques barrières que tu as mal placées ;
Par-dessus tout ma Confiance, bien trop négligée …
Tu m’as fait frissonner de joie, tressaillir de bonheur,
Mais ce qu’il me reste de ces moments magiques,
Me fait trembler d’effroi et me fend le cœur,
Car je ressens la peur enfouie d’une fin tragique.
Pour la 1ère fois j’ avais un meilleur ami,
Le sentiment que rien ne nous séparerait,
Le sentiment que l’on s’aimait, pour la vie,
Que pour rien au monde on ne se perdrait.
J’ ai poser mon passé sur tes oniriques fondations,
Que ton amour passion a rendu bouseuses,
Mon présent se noie dans le passé de mon affliction,
Et lui-même s’enfonce dans ta négligence aqueuse.
Mon amitié , tu l’as dissimulée derrière ce rideau rouge.
Hors de ta vue, elle a pris feu, et c’est transformé,
à cause d’un amour , qui t’ a perdu dans ses songes,
tu m’ as descendu clandestinement, et blessé.
La jalousie dont tu m’accusais, ne t’a point déstabilisée,
Tu t’es éloigné, comme si un coup de poignard
Je t’avais lâchement et injustement donné,
Mais je ne me suis point fais honneur de ce coup de connard !
J’ ai attendu , espéré, imaginé, rêvé,
Qu’au bout d’un moment tu reviendrais,
Mais de toute évidence je me sui trompé,
Car sans moi , entre nous, rien ne subsisterait !
Aujourd’hui je vis triste ,dans cet heureux souvenir,
Dans les limbes d’un passé que j’ aimerai retrouver,
Ce linceul macabre qui me suit, me rappelle que je dois partir,
Si enfin mon corps, mon âme, mon esprit, mon cœur je veux libérer.
Tu t’es tourné vers d’autres, refusant ma main,
Inversant les rôles, comme si j’ étais coupable,
La seule chose à me reprocher , c’est cet amour vain,
Car uniquement par toi mon cœur était touchable…
Maintenant, tu m’indiffères, le marbre recouvre enfin nos liens,
Tes mots, tes cassages, tes actions égoïstes me lassent,
Je suis essoufflé d’avoir couru tout ce temps pour rien,
Mon cœur à conçu cet anticorps, qui fait que lentement tu t’effaces,
Il est trop tard maintenant,
mon amitié, tu as bafouée,
Et que ce soit en rampant,
Le pris tu devras payer…
Re: Poèmes
Pourquoi
Pourquoi la vie nous apporte tant de souffrances ?
Pourquoi naitre pour ensuite trop vite s'en aller ?
Pourquoi les personnes que l'on aime nous laissent dans le silence ?
Pourquoi les epreuves sont elles si dures à supporter ?
Voir les gens pleurer et leurs visages marqués,
Par le chagrin de ton absence qui nous laisse sans voix,
Ton départ soudain, personne n'y était préparé,
Mais tu vois, nous sommes tous là à penser fort à toi,
L'église était remplie de personnes qui t'aimaient,
Ta famille, tes amis, et les Sapeurs Pompiers,
Jamais nous n'aurions pensé qu'ainsi tu nous quitterais,
Tu es parti si vite, nous sommes désemparés,
Je t'en ai voulu tu sais, de ne pas avoir ralenti,
Ton rhytme de vie que tu semblais aimer,
Ton travail, tes passions, ta famille, tes amis,
A quel moment, as tu pensé à un peu te reposer ?
Cette maison dont tu revais et que tu venais d'acheter,
Ces travaux que tu envisageais de vite terminer,
On dit que pour vivre il faut avoir des projets,
Toi, tu en avais qui ne se réaliseront jamais,
On est si fragiles et démunis devant notre destin,
Hier, nous t'avons accompagnés dans cet autre chemin,
Nous étions là, présents et unis par le chagrin,
Notre coeur s'unissant pour partager tes derniers instants,
Nous sommes tous émus et emplis de douleur,
Les larmes coulent à flots, par ce que fort nous t'aimons,
Tu seras à jamais présent en notre coeur,
Tu étais l'ami, le proche que jamais nous n'oublierons ...
Ceandy
Pourquoi la vie nous apporte tant de souffrances ?
Pourquoi naitre pour ensuite trop vite s'en aller ?
Pourquoi les personnes que l'on aime nous laissent dans le silence ?
Pourquoi les epreuves sont elles si dures à supporter ?
Voir les gens pleurer et leurs visages marqués,
Par le chagrin de ton absence qui nous laisse sans voix,
Ton départ soudain, personne n'y était préparé,
Mais tu vois, nous sommes tous là à penser fort à toi,
L'église était remplie de personnes qui t'aimaient,
Ta famille, tes amis, et les Sapeurs Pompiers,
Jamais nous n'aurions pensé qu'ainsi tu nous quitterais,
Tu es parti si vite, nous sommes désemparés,
Je t'en ai voulu tu sais, de ne pas avoir ralenti,
Ton rhytme de vie que tu semblais aimer,
Ton travail, tes passions, ta famille, tes amis,
A quel moment, as tu pensé à un peu te reposer ?
Cette maison dont tu revais et que tu venais d'acheter,
Ces travaux que tu envisageais de vite terminer,
On dit que pour vivre il faut avoir des projets,
Toi, tu en avais qui ne se réaliseront jamais,
On est si fragiles et démunis devant notre destin,
Hier, nous t'avons accompagnés dans cet autre chemin,
Nous étions là, présents et unis par le chagrin,
Notre coeur s'unissant pour partager tes derniers instants,
Nous sommes tous émus et emplis de douleur,
Les larmes coulent à flots, par ce que fort nous t'aimons,
Tu seras à jamais présent en notre coeur,
Tu étais l'ami, le proche que jamais nous n'oublierons ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Une belle dame de la cour, assise à sa fenêtre,
Regardait passer sur la rue les êtres.
Un grand seigneur, par sa beauté, captivé,
Amoureux il est tombé.
"Je t'aime, je t'aime!" il s'écria.
Mais elle ne lui répondit pas.
Finalement, épuisé, il s'arrête,
Mais la demoiselle a trouvé ça bête;
Car amoureuse elle était tombée,
Par son humour, captivée.
J'ai fait ce ridicule poème bien avant.
:lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!:
Regardait passer sur la rue les êtres.
Un grand seigneur, par sa beauté, captivé,
Amoureux il est tombé.
"Je t'aime, je t'aime!" il s'écria.
Mais elle ne lui répondit pas.
Finalement, épuisé, il s'arrête,
Mais la demoiselle a trouvé ça bête;
Car amoureuse elle était tombée,
Par son humour, captivée.
J'ai fait ce ridicule poème bien avant.
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Re: Poèmes
Les princesses
Que n'ai je plus 8 ou dix ans ?
Qu'il me soit permis de rêver,
A la venue du Prince Charmant,
Celui qui aurait trouvé mon soulier,
Que n'ai je plus cet âge tendre,
Qu'il me soit permis d'imaginer,
Que la vie saura bien m'attendre,
Quand mes reves se verront réalisés,
Que n'ai je plus la douce enfance,
Qu'il me soit permis de croire,
Que les choses sont telles qu'on pense,
Qu'il n'existe pas de désespoir,
J'ai pourtant l'âge d'être mère,
Je le suis d'ailleurs quatre fois,
Cependant je crois et j'en suis fière,
Que les princesses gouvernent ma voie,
Que n'ai je plus Dix, douze ans,
Pour rire de choses banales,
Voir le sourire d'un adolescent,
Imaginer mon cavalier de bal,
Que n'ai je plus cet âge délicat,
D'une fleur qui gonfle ses pétales,
Âge que les adultes disent ingrat,
Quand les ados s'expriment mal,
Que n'ai je plus l'insouciance,
D'une jeune fille qui rit de tout,
Qui attend avec espérance,
Que la vie lui apporte tout,
J'ai pourtant l'âge d'être mère,
J'ai mes petits monstres à moi,
Il ne m'empèche d'être très fière,
De croire que les princesses montrent la voie ...
Ceandy
Que n'ai je plus 8 ou dix ans ?
Qu'il me soit permis de rêver,
A la venue du Prince Charmant,
Celui qui aurait trouvé mon soulier,
Que n'ai je plus cet âge tendre,
Qu'il me soit permis d'imaginer,
Que la vie saura bien m'attendre,
Quand mes reves se verront réalisés,
Que n'ai je plus la douce enfance,
Qu'il me soit permis de croire,
Que les choses sont telles qu'on pense,
Qu'il n'existe pas de désespoir,
J'ai pourtant l'âge d'être mère,
Je le suis d'ailleurs quatre fois,
Cependant je crois et j'en suis fière,
Que les princesses gouvernent ma voie,
Que n'ai je plus Dix, douze ans,
Pour rire de choses banales,
Voir le sourire d'un adolescent,
Imaginer mon cavalier de bal,
Que n'ai je plus cet âge délicat,
D'une fleur qui gonfle ses pétales,
Âge que les adultes disent ingrat,
Quand les ados s'expriment mal,
Que n'ai je plus l'insouciance,
D'une jeune fille qui rit de tout,
Qui attend avec espérance,
Que la vie lui apporte tout,
J'ai pourtant l'âge d'être mère,
J'ai mes petits monstres à moi,
Il ne m'empèche d'être très fière,
De croire que les princesses montrent la voie ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
Elina a écrit:je suis impatiente de lire ton prochain poème
merci
L’Amour,
Quel est ce sentiment étrange ?
Qui me procure une telle chaleur,
On dirait la douceur d'un Ange,
Qui fait vibrer mon petit coeur,
Quelle est cette sensation si forte ?
Comme cet Amour que je te porte,
Qui fait de ma vie un paradis,
Et de mes nuits une féerie,
Quel est ce tendre et grand émoi ?
Qui m'envahit à petit feu,
Qui me fait ne vivre que pour toi,
Et pour la douceur de tes yeux,
Quel est ce besoin intense ?
Qui m'enivre tout en silence,
Qui fait chavirer mon coeur,
Et qui me nourrit de bonheur ...
Ceandy
Quel est ce sentiment étrange ?
Qui me procure une telle chaleur,
On dirait la douceur d'un Ange,
Qui fait vibrer mon petit coeur,
Quelle est cette sensation si forte ?
Comme cet Amour que je te porte,
Qui fait de ma vie un paradis,
Et de mes nuits une féerie,
Quel est ce tendre et grand émoi ?
Qui m'envahit à petit feu,
Qui me fait ne vivre que pour toi,
Et pour la douceur de tes yeux,
Quel est ce besoin intense ?
Qui m'enivre tout en silence,
Qui fait chavirer mon coeur,
Et qui me nourrit de bonheur ...
Ceandy
Rendors toi,
Il fait encore nuit, et pourtant tu t'éveilles,
Car sur mes rêves, tendrement tu veilles,
Ne t'inquiètes pas, tu n'es pas loin,
Présent en moi, à chaque instant,
J'en oublie tous mes tourments,
Je me consacre à notre Amour,
Celui qui grandit à chaque moment,
Et qui est plus fort, de jours en jours,
Rendors toi, mon petit coeur,
Partageons nos rêves de douceur,
Je te sais, tout près de moi,
Tu me prends dans tes bras,
Je t'aime, mon Amour,
Je t'aimerai toujours,
Tu es toute ma vie,
Et je rêve de magie ...
Ceandy
Il fait encore nuit, et pourtant tu t'éveilles,
Car sur mes rêves, tendrement tu veilles,
Ne t'inquiètes pas, tu n'es pas loin,
Présent en moi, à chaque instant,
J'en oublie tous mes tourments,
Je me consacre à notre Amour,
Celui qui grandit à chaque moment,
Et qui est plus fort, de jours en jours,
Rendors toi, mon petit coeur,
Partageons nos rêves de douceur,
Je te sais, tout près de moi,
Tu me prends dans tes bras,
Je t'aime, mon Amour,
Je t'aimerai toujours,
Tu es toute ma vie,
Et je rêve de magie ...
Ceandy
ceandryo- Invité
Re: Poèmes
chika a écrit:*Fan de Ceandy* *O*
Merci
Elina a écrit:as-tu encore des poèmes, ceandy? si oui, écris-les vite pour que je les lise!
Bonjour Elina et merci pour l'accueil que tu fais à mes poèmes c'est très gentil
Bien sur que j'en ai encore j'en écris sans arret
Mais je ne voudrais pas me faire jetter de ce topic en le remplissant trop vite alors patience
Un bisou pour vous deux ! Vous Z'êtes adorables !!!
Telle une abeille
Telle une abeille, tu m'as butinée,
En moi ton nectar tu as dispersé,
Telle une rose j'ai enfin éclos,
Tes caresses effaçant mes maux,
Je grandis jours après jours,
Me nourrissant de ton Amour,
Ton coeur est mon rayon de soleil,
Chaque matin, c'est lui qui m'éveille,
Tes baisers, sont tendres et humides,
C'est la rosée du petit matin,
Ils sont également si bons et divins,
Que chaque jours j'en suis avide,
Tes mains plus douces que des ailes,
Toi ma jolie petite abeille,
Donnent vie à un désir charnel,
C'est ainsi que tu m'éveilles,
Butine moi encore mon trésor,
Car j'ai si faim de ton corps,
Nourris moi de ton nectar,
Afin que rien ne nous sépare,
Telle une rose éclose à la vie,
Je suis en attente de tes soins,
De toi, j'ai très fort envie,
Ne t'éloignes jamais au loin,
Telle une fleur enfin épanouie,
Je suis demandeuse de caresses,
Butines moi, mon tendre chéri,
En moi, déposes toute ta tendresse ...
Ceandy
Telle une abeille, tu m'as butinée,
En moi ton nectar tu as dispersé,
Telle une rose j'ai enfin éclos,
Tes caresses effaçant mes maux,
Je grandis jours après jours,
Me nourrissant de ton Amour,
Ton coeur est mon rayon de soleil,
Chaque matin, c'est lui qui m'éveille,
Tes baisers, sont tendres et humides,
C'est la rosée du petit matin,
Ils sont également si bons et divins,
Que chaque jours j'en suis avide,
Tes mains plus douces que des ailes,
Toi ma jolie petite abeille,
Donnent vie à un désir charnel,
C'est ainsi que tu m'éveilles,
Butine moi encore mon trésor,
Car j'ai si faim de ton corps,
Nourris moi de ton nectar,
Afin que rien ne nous sépare,
Telle une rose éclose à la vie,
Je suis en attente de tes soins,
De toi, j'ai très fort envie,
Ne t'éloignes jamais au loin,
Telle une fleur enfin épanouie,
Je suis demandeuse de caresses,
Butines moi, mon tendre chéri,
En moi, déposes toute ta tendresse ...
Ceandy
Délice parfumé
Une fille s'approchait d'un bel arbre en fleurs,
Elle souhaitait s'allonger à l'ombre de ses branches,
Elle ne savait pas encore que l'attendait la douceur,
Venue tout exprès pour fêter un certain dimanche,
Cette fille qui venait d'avoir quinze ans,
Qui revait sans cesse de son prince charmant,
Elle ne connaissait pas encore cet homme,
Mais fébrilement attendait de croquer la pomme,
Depuis toute gosse, elle entendait dire,
Que l'Amour se cueillait comme un fruit,
Elle espérait que cet arbre saurait lui traduire,
Comment elle pourrait s'abreuver de ce coulis,
En s'approchant de ce grand pommier,
Elle était vraiment loin de s'imaginer,
Que l'Amour était mur et allait être cueilli,
Quand le jeune homme allait tomber du feuillage garni,
Quelle histoire iréelle, penseraient les voisins,
Quand ils les verraient tous deux, main dans la main,
Mais le conte est bien loin d'être terminé,
Car les amoureux avaient décidé de vite s'aimer,
Mais ces enfants encore un peu naifs,
Ne connaissaient pas l'emploi du fruit,
En faut il cueillir, en nombre massif,
Ou faut il le consommer, quand la lune luit,
Riant ensemble de leur inexpérience avouée,
Les amoureux étaient tentés de déguster,
Ils ne voulurent pas attendre la tombée de la nuit,
Affamés qu'ils étaient d'un Amour incompris,
Ils cueillirent quelques fruits et s'asseyèrent sur des branches,
Timidement, ils otèrent l'écrin, mettant ainsi le coeur à nu,
Il faisait encore doux en ce merveilleux dimanche,
Les jeunes amoureux connaissent enfin le gout de ce jus,
Ils ont apprécié chaque goutte du nectar parfumé,
Et très vite l'appétit les fera recommencer,
Ils apprirent que le fruit de l'Amour,
Est un mets qui se consomme chaque jour,
La pomme n'est pas le seul de ces mets,
Tous les fruits peuvent la remplacer,
Si les amoureux sont de grands gourmets,
Alors ils sauront improviser !
Ceandy
Une fille s'approchait d'un bel arbre en fleurs,
Elle souhaitait s'allonger à l'ombre de ses branches,
Elle ne savait pas encore que l'attendait la douceur,
Venue tout exprès pour fêter un certain dimanche,
Cette fille qui venait d'avoir quinze ans,
Qui revait sans cesse de son prince charmant,
Elle ne connaissait pas encore cet homme,
Mais fébrilement attendait de croquer la pomme,
Depuis toute gosse, elle entendait dire,
Que l'Amour se cueillait comme un fruit,
Elle espérait que cet arbre saurait lui traduire,
Comment elle pourrait s'abreuver de ce coulis,
En s'approchant de ce grand pommier,
Elle était vraiment loin de s'imaginer,
Que l'Amour était mur et allait être cueilli,
Quand le jeune homme allait tomber du feuillage garni,
Quelle histoire iréelle, penseraient les voisins,
Quand ils les verraient tous deux, main dans la main,
Mais le conte est bien loin d'être terminé,
Car les amoureux avaient décidé de vite s'aimer,
Mais ces enfants encore un peu naifs,
Ne connaissaient pas l'emploi du fruit,
En faut il cueillir, en nombre massif,
Ou faut il le consommer, quand la lune luit,
Riant ensemble de leur inexpérience avouée,
Les amoureux étaient tentés de déguster,
Ils ne voulurent pas attendre la tombée de la nuit,
Affamés qu'ils étaient d'un Amour incompris,
Ils cueillirent quelques fruits et s'asseyèrent sur des branches,
Timidement, ils otèrent l'écrin, mettant ainsi le coeur à nu,
Il faisait encore doux en ce merveilleux dimanche,
Les jeunes amoureux connaissent enfin le gout de ce jus,
Ils ont apprécié chaque goutte du nectar parfumé,
Et très vite l'appétit les fera recommencer,
Ils apprirent que le fruit de l'Amour,
Est un mets qui se consomme chaque jour,
La pomme n'est pas le seul de ces mets,
Tous les fruits peuvent la remplacer,
Si les amoureux sont de grands gourmets,
Alors ils sauront improviser !
Ceandy
ceandryo- Invité
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