Impossible d'envoyer un message édité
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Impossible d'envoyer un message édité
Détails techniques
Version du forum : phpBB2
Poste occupé : Administrateur
Navigateur(s) concerné(s) : Mozilla Firefox, Google Chrome, Autre
Personnes concernées par le problème : Moi uniquement
Lien du forum : http://cafet.1fr1.net/
Description du problème
Bonjour, j'ai voulu éditer un (très) long message pour enlever des liens morts, mais quand je veux poster, le bouton "envoyer" ne réagit pas, sans que la page ne soit figée (les smileys bougent, etc.) Je me suis dit que ça dépassait sans doute le nombre de caractères autorisés (bien que d'habitude un message s'affiche pour le signaler). Dans le doute, j'ai voulu envoyer en ne gardant que le début du message et en coupant tout le reste (pour le coller ailleurs dans un autre message) mais là encore, impossible d'envoyer. J'ai tenté sur d'autres navigateurs, en vain.Quelle est la raison possible de ce bug ? Y aurait-il une solution ?
Merci
Attendre quelques secondes que les photos chargent.Pompéi et le Vésuve !
Le Vésuve, vu depuis la baie de Naples
Une baie est une avancée de mer en forme d'arrondi à l'intérieur des terres, la mer étant entourée de trois côtés.
.
On appelle cela aussi un golf, quand il s'agit d'une grande baie. On peut donc dire aussi : le golf de Naples.
La petite île vers le bas de la baie de Naples est la célèbre île de Capri.
La baie de Naples, située en Campanie.
La Campanie est la région autour du Vésuve, région située au sud de celle de Rome (région du Latium)
Naples est prise entre deux Volcans : le Vésuve (volcan haut) et la Solfatara (ou champs phlégréens = champs brûlants) un volcan totalement ... plat.
Les anciens, qui ne comprenaient pas les fumées qui s'échappaient du sol, y voyaient une entrée des enfers. : e ek:
La cité antique de Cumes est proche, et c'est là que résidait une célèbre prophétesse, la Sibylle de Cumes (l'équivalente de la Pythie de Delphes). Dans la mythologie, la Sibylle conduira Enée dans les enfers, en passant par le lac Averne, un ancien cratère rempli d'eau, qui fait partie des champs phlégréens.
La caldera : cratère d'un volcan, ici partie chaude et fumante d'un volcan.
Le mont Vésuve :
Petite éruption durant la seconde guerre mondiale
https://www.youtube.com/watch?v=pl8uuHI5y_U
https://www.youtube.com/watch?v=0zT_Kab9g2Y
Vue du Vésuve depuis Pompéi ...
Pompéi est une cité située à 25 km de Naples, au pied du volcan Vésuve.
Fresque de Pompéi montrant le Vésuve, couvert de vignes, avant l'éruption.
Beaucoup de Pompéiens ignoraient que cette montagne fertile était un volcan.
17 ans avant l'éruption, Pompéi avait été en grande partie détruite par un violent tremblement de terre ....
Représentation du forum de Pompéi secoué par le tremblement de terre. Elle se trouve sur un laraire, en ex-voto (remerciement aux dieux) d'une personne pour avoir survécu à cette catastrophe.
et en l'en 79, la ville commençait à peine à se reconstruire.
L'éruption les surprit tous, malgré des tremblements de terre avant-coureurs.
Pompéi fut brutalement ensevelie en l'an 79, au début du règne de Titus, sous une couche de lapilli (Petites projections volcaniques.) et de cendres, avec ses monuments, ses rues, ses habitants.
En plein jour, la nuit s'abattit, la lumière du soleil étant cachée. Et cette nuit terrible dura plusieurs jours !
Durant des heures, les Pompéiens périrent peu à peu, écrasés par les maisons qui s'écroulaient, étouffés par les cendres, les gaz délétères, frappés par des blocs de roches ...
La ville fut ensuite balayée par une coulée pyroclastique (avalanche de gaz et de cendres brûlantes), comme par le souffle d'une bombe nucléaire !
Cette nuée ardente finale ensevelit la cité et les derniers survivants sous des mètres de cendres brûlantes !
Hauteur de la couche de cendres et de lapilli qui recouvrit Pompéi et Herculanum, cités voisines.
On voit la ville moderne construite au-dessus.
Reste d'un arbre tordu par le souffle de la coulée pyroclastique.
Pompéi fut oubliée pendant près de 1700 ans, mais on la redécouvrit au XVIIIème siècle, et les fouilles commencèrent, bien qu'elles furent d'abord ... surtout des pillages.
C'était une chasse au trésor, on pillait toutes les œuvres d'art, les richesses, sans se soucier d'étudier ce qui était découvert. :jio:
On creusait des galeries dans le sol et on cassait les murs pour aller piller ce qu'il y avait dedans.
Certains de ces trous ont été fait par les Romains après la catastrophe, les autres trous ont été percés par des pillards près de 2000 plus tard, avant que l'archéologie ne devienne une science.
La découverte finit par passionner des gens du monde entier, et on va vouloir mettre un frein à ce pillage.
C'est donc grâce à Pompéi que l'archéologie va naitre, en devenant une science qui étudie les découvertes au lieu de les piller.
La redécouverte de Pompéi nous permet de remonter le temps et de visiter une ville romaine presque intacte, telle qu'elle était, figée avec tous les éléments de la vie quotidienne.
Des empreintes laissées par les corps des habitants ont pu être "statufiées" par les archéologues.
[url=https://servimg.com/view/11531600/8470]
[/url]
Quelques moulages ont été laissés sur place, mais la plupart ont été dispersés dans des musées ou dans des entrepôts archéologiques.
Jusqu'à la nourriture retrouvées sur les tables : olives, noix, figues, raisins, œufs, etc.
Dans la ville jumelle de Pompéi, Herculanum, le bois calciné aussitôt recouvert a même pu être préservé ...
Lettre de Pline le jeune, survivant de l'éruption de l'an 79, à l'historien Tacite, qui voulait connaitre les détails de la mort de son célèbre oncle, Pline l'ancien, amiral d'une flotte sur la baie de Naples, mais surtout auteur de "L’histoire naturelle", un ouvrage scientifique latin sur la nature en 37 volumes qui, en plus d'être resté une référence absolue pendant 1800 ans, a aussi inspiré toutes les autres encyclopédies.
- Spoiler:
Vous me demandez de vous raconter la fin de mon oncle pour pouvoir la transmettre plus exactement à la postérité. Il a péri au milieu de la dévastation des plus belles contrées, en même temps que des populations, en même temps que des villes, dans un accident mémorable qui semble destiné à faire vivre éternellement son souvenir. Il se trouvait à Misène et commandait la flotte en personne. Le 9 avant les calendes de septembre, aux environs de la septième heure, ma mère lui apprend qu’on voit un nuage atypique et extraordinaire par sa grandeur et son aspect.
Il monte à l’endroit d’où on pouvait le mieux contempler le phénomène : une nuée se formait, ayant l’aspect et la forme d’un pin parasol.
La colonne de fumée par endroit était d’un blanc brillant, ailleurs poussiéreuse et tachetée, selon qu'elle transportait de la terre ou des cendres. Mon oncle trouva tout cela très insolite et bon à connaître de plus près, en savant qu’il était. Il fait mettre en état un bateau liburnien; il me propose, si cela me plaît, de venir avec lui; je lui répondis que je préférais rester à mon travail. Il sortait de chez lui ; on lui remet un billet de Rectina, une amie, effrayée du danger qui la menaçait (sa villa était en contrebas du volcan et elle ne pouvait fuir qu’en bateau) ; elle suppliait qu’on l’arrachât à une mort si terrible. Mon oncle change son plan et ce qu’il avait entrepris par amour de la science, il l’achève par héroïsme et désir de porter secours aux victimes. Il fait sortir des quadrirèmes et s’embarque avec l’intention de secourir, outre Rectina, beaucoup d’autres personnes (les agréments du rivage y avaient attiré bien des visiteurs). Il gagne en toute hâte la région que d’autres fuient et vogue le cap droit sur le point périlleux : il notait, et tantôt dictait, toutes les phases du terrible fléau, à mesure qu’il les percevait. Déjà les bateaux recevaient de la cendre, à mesure qu’ils approchaient, plus chaude et plus épaisse, déjà aussi de la pierre ponce et des cailloux noircis, brûlés, éclatés par le feu, déjà il y avait un bas-fond et des rochers écroulés interdisaient le rivage. Le vent soufflait vers la terre de sorte qu’aucun navire à voile ne pouvait espérer en partir. Propulsés à rames, ses navires de guerre parviendraient peut-être à atteindre les plages et à en revenir. Il hésita un moment : reviendrait-il en arrière ? Puis, à son pilote qui le lui conseillait, il s'écria : « Audaces Fortuna juvat ! La fortune aide les audacieux ! Mets la barre sur l’habitation de Pomponianus.»
Cet ami de mon oncle était à Stabies, de l’autre côté du golfe (le rivage forme une baie, une courbe que remplit la mer). Alors que le péril n’était pas encore là, Pomponianus avait fait charger ses paquets sur des bateaux, décidé à fuir si le vent contraire tombait. Mon oncle embrasse son ami tremblant, le console, l’encourage et, voulant calmer ses craintes par le spectacle de sa tranquillité, se fait amener aux bains ; en en sortant, il se met à table et soupe avec gaîté, ou, ce qui n’est pas moins beau, en feignant la gaîté. Pendant ce temps, le sommet du mont Vésuve brillait en de nombreux points de larges flammes et de grandes colonnes de feu dont la rougeur et l’éclat étaient avivés par l’obscurité de la nuit. Mon oncle répétait que c'était juste des foyers laissés allumés par les paysans dans leur fuite ou des villas abandonnées qui brûlaient dans la solitude, voulant par là calmer les craintes. Alors il se livra au repos et dormit d’un sommeil qui ne peut être mis en doute, car sa respiration, grave et sonore, était entendue de loin par ceux qui allaient et venaient devant sa porte. La cour par laquelle on accédait à son appartement était déjà remplie de pierres ponces mêlées de cendres qui en avaient élevé le niveau à tel point qu’en restant plus longtemps dans sa chambre il n’aurait plus pu en sortir. On le réveille, il vient rejoindre Pomponianus et les autres qui avaient passé toute la nuit debout. On tient conseil : restera-t-on dans un lieu couvert ou s’en ira-t-on dehors ? Des tremblements de terre fréquents et amples agitaient les maisons qui semblaient arrachées à leurs fondements et oscillaient dans un sens, puis dans l’autre. A l’air libre, par contre, tombaient des fragments de pierres ponces, légères et poreuses, il est vrai, mais qui faisaient mal et qu’on redoutait énormément. C’est à quoi on se résigna après comparaison des dangers. Ils mirent des oreillers sur leur tête et les attachèrent avec des linges : ce fut leur seule protection contre tout ce qui tombait du ciel. Le jour devait s'être levé depuis très longtemps, mais se poursuivaient toujours les ténèbres d'une nuit qui était la plus sombre et la plus affreuse de toutes les nuits, nuit qu’atténuaient juste une foule de gens avec des torches et des lumières de toutes sortes, et qui éclairaient à peine. On résolut d’aller sur le rivage et de voir de près s’il était maintenant possible de prendre la mer ; mais elle était encore grosse et redoutable. Là, on étendit un linge sur lequel mon oncle se coucha ; il demanda à plusieurs reprises de l’eau fraîche et en but ; ensuite les flammes et l’odeur de soufre qui les annonçait font fuir ses compagnons et le réveillent ; il s’appuie sur deux esclaves pour se lever et retombe immédiatement, mort. Pendant ce temps, moi resté à Misène avec ma mère... Mais cela n’importe pas à l’histoire, et vous ne m’avez pas demandé autre chose que le récit de sa mort. Je m’arrêterai donc. Je n’ajouterai que ceci : je vous ai donné la suite complète des événements auxquels j’ai assisté et de ce qui m’a été raconté immédiatement, au moment où les récits sont le plus exacts. A vous de faire des extraits à votre choix ; car une lettre n’est pas une histoire ; écrire pour un ami n’est pas écrire pour le public. Adieu.
......
Evidemment, l'historien Tacite, à qui écrivait Pline le Jeune, lui a répondu pour lui demander son récit à lui, et comment il avait survécu à l'éruption.
Après que mon oncle fut parti, je continuai l’étude qui m’avait empêché de le suivre. Je pris le bain, je soupai, je me couchai et dormis peu, et d’un sommeil fort interrompu. Les jour précédents, des secousses telluriques s’étaient fait sentir, et nous avait d’autant moins étonnés, que les villes de la Campanie y sont fort sujettes. Comme je n'avais que dix-huit ans, je ne sais pas si je dois appeler fermeté ou imprudence ce que je fis alors. Je demandai un livre de Tite-Live. Je me mis à le lire, comme dans le plus grand calme, et je continuai à en faire des extraits. Un ami de mon oncle, récemment arrivé d'Espagne pour le voir, nous trouva assis, ma mère et moi. Je lisais. Il nous reprocha, à ma mère son inertie, et à moi mon stoïcisme. Je n'en continuai pas moins attentivement ma lecture.
Mais les tremblements de terre redoublèrent pendant cette nuit avec tant de violence, qu’on eût dit que tout était non pas agité, mais renversé ! Il devait être jour, pourtant il ne paraissait qu’une lumière faible, comme une espèce de crépuscule. Alors les bâtiments furent ébranlés par de si fortes secousses qu'ils menaçaient de s'effondrer sur nous et qu’il n’y eut plus de sûreté à demeurer là. Alors l'ami dont j'ai parlé revint plus vivement encore à la charge. Si votre frère, si votre oncle est vivant, nous dit-il, il veut sans doute que vous vous sauviez ; et s'il est mort, il a voulu que vous lui surviviez. Qu'attendez-vous donc pour partir ? Nous lui répondîmes que nous ne pourrions songer à notre sûreté, tant que nous serions incertains de son sort. À ces mots, il s'élance, et cherche son salut dans une fuite précipitée. Nous prenons alors le parti de quitter la ville; le peuple épouvanté nous suit en foule, nous presse, nous pousse, nous bouscule. Après que nous fûmes sortis de la ville, nous nous arrêtâmes; et là, nouveaux prodiges, nouvelles frayeurs. Les voitures que nous avions emmenées avec nous étaient si agitées qu’on ne pouvait, même en les appuyant avec de grosses pierres, les arrêter en place. La mer semblait se renverser sur elle-même, et être comme chassée du rivage par l’ébranlement de la terre. Le rivage en effet s'étaient retiré et se trouvait rempli de différents poissons demeurés à sec sur le sable. A l’opposé, une nuée noire et horrible, crevée par des feux qui s’élançaient la serpentant, s’ouvrait et laissait échapper de longues fusées semblables à des éclairs, mais qui étaient beaucoup plus grandes... La cendre commençait à tomber sur nous. Je tourne la tête, et j’aperçois derrière nous une épaisse fumée qui nous suivait, en se répandant sur la terre comme un torrent qui aurait coulé sur le sol à notre suite ! La nuée descendait de plus en plus sur la terre, couvrait la mer: elle avait enveloppé et dérobé Capri, caché la pointe qui s’avance au bout de la baie. Alors ma mère se mit à me supplier de l'abandonner, à m’exhorter, à m’ordonner de fuir à tout prix ; un jeune homme pouvait le faire, mais elle était alourdie par l’âge et l’embonpoint ; sa mort serait douce si elle n’était pas cause de la mienne ; je lui réponds que je ne me sauverais qu’avec elle. Puis je saisis son bras et je la force à doubler le pas. Elle le fait difficilement et s’accuse de me retarder. À ce moment, je me retourne: la traînée noire et épaisse s’avançait sur nous par derrière. "Quittons la route principale, dis-je à ma mère, de peur que la foule ne nous piétine et ne nous étouffe dans les ténèbres !" A peine étions-nous écartés que les ténèbres augmentèrent de telle sorte qu’on eût cru être, non pas dans une de ces nuits noires et sans lune, mais dans une chambre où toutes les lumières auraient été éteintes, et tout volet fermé... On entendait les gémissements des femmes et des mourants, les vagissements des bébés, les cris des hommes ; les uns cherchaient de la voix leur père et leur mère, les autres leurs enfants, les autres leurs femmes, tâchant de les reconnaître à la voix. Certains se lamentaient leur malheur à eux, d’autres celui des leurs. Ici on levait les mains au ciel, certains priaient les dieux, d'autres disaient qu'il n'y avait plus de dieux et que cette nuit était la dernière du monde. Il y en avait qui, par frayeur de la mort, appelaient la mort. Plusieurs ajoutaient aux dangers réels des craintes imaginaires et chimériques. Quelques-uns disaient qu'à Misène tel édifice s'était écroulé, que tel autre était en feu. Puis parut une lueur qui nous annonçait, non pas le retour du jour, mais l’approche du feu qui nous menaçait ! Il s’arrêta heureusement loin de nous. L’obscurité revient, et la pluie de cendres recommence, encore plus forte et plus épaisse. Nous étions réduits à nous lever de temps eu temps pour secouer nos habits, car sans cela elle nous eût comme écrasés sous leur poids et enterrés... Je pourrais me vanter qu'au milieu de périls si affreux, il ne m'échappa aucune plainte ni aucune parole de faiblesse ; mais j'étais soutenu par cette pensée déplorable et consolante à la fois, que tout l'univers périssait avec moi. Enfin cette noire vapeur se dissipa peu à peu , comme une fumée ou comme un nuage. Le jour ne parut peu à peu qu'après un autre jour, mais avec un soleil pâle, blafard et jaunâtre, comme dans une éclipse. Tout se montrait changé à nos yeux encore troublés; et nous ne trouvions rien qui ne fût enseveli sous des monceaux de cendre, comme sous de la neige.
Nous retournâmes à Misène. Chacun s'y rétablit de son mieux en sauvant les bâtiments qui pouvaient l'être, et nous y passâmes une nuit entre la crainte et l'espérance. Mais la crainte l'emportait toujours, car les tremblements de terre continuaient. Plusieurs ajoutaient aux dangers réels des craintes imaginaires et chimériques. Quelques-uns disaient qu'à Misène tel édifice s'était écroulé, que tel autre était en feu. La plupart, égarés par de terribles prédictions, aggravaient leurs infortunes et celles d'autrui. Cependant, malgré nos périls passés et nos périls futurs, il ne nous vint pas la pensée de nous éloigner, avant d'avoir appris des nouvelles de mon oncle.
Cher Tacite, vous lisez ces détails que vous m'avez demandés; mais ne les faites point entrer dans votre ouvrage. (Verba volant, scripta manent) Ils ne sont nullement dignes de l'histoire ; et, s'ils ne sont pas même dignes d'une lettre, ne vous en prenez qu'à vous seul qui les avez exigés de moi.
Adieu.
Dernière édition par -Méphisto- le Mar 28 Mar 2023 - 15:00, édité 4 fois
Re: Impossible d'envoyer un message édité
C'est d'autant plus étonnant qu'ici le message est bien envoyé in extenso sans problème.
Il est également possible de l'éditer ici aussi sans problème, alors que c'est impossible depuis plus de quatre heures de tentatives sur mon forum, en réessayant plusieurs fois et en changeant aussi de navigateur.
Voici le lien direct du topic si besoin :
https://cafet.1fr1.net/t7272-visite-de-pompei?highlight=pomp%C3%A9i
Il est également possible de l'éditer ici aussi sans problème, alors que c'est impossible depuis plus de quatre heures de tentatives sur mon forum, en réessayant plusieurs fois et en changeant aussi de navigateur.
Voici le lien direct du topic si besoin :
https://cafet.1fr1.net/t7272-visite-de-pompei?highlight=pomp%C3%A9i
Re: Impossible d'envoyer un message édité
Bonjour -Méphisto-,
Vous nous autorisez d'essayer / tester en remplaçant le contenu actuel par le message que vous avez posté ici ?
Vous nous autorisez d'essayer / tester en remplaçant le contenu actuel par le message que vous avez posté ici ?
Re: Impossible d'envoyer un message édité
Oui, bien volontiers.
Re: Impossible d'envoyer un message édité
J'ai réussi à débloquer votre message (J'ai mis le contenu que vous avez posté ici)
Le problème était dans les champs des images Twitter et Facebook (Outils SEO en dessous de l'éditeur, en mode d'édition).
Dans les 2 champs, il y avait 2 fois ce lien cassé :
Il correspond au lien d'un des vos smileys
Je ne peux pas vous dire comment il s'est retrouvé là, il s'agit d'un conflit quelconque (habituellement, cela peut se passer lorsque on met un chiffre sans ":" dans le code d'un smiley, mais ici c'est même pas le cas... )
D'ailleurs, j'ai juste vidé les 2 champs, mais en revenant sur l'édition du message je vois que maintenant les bonnes URL sont affichées..
Bonne journée,
Cordialement
Le problème était dans les champs des images Twitter et Facebook (Outils SEO en dessous de l'éditeur, en mode d'édition).
- Spoiler:
Dans les 2 champs, il y avait 2 fois ce lien cassé :
- Code:
/users/3112/36/10/58/smiles/434533.gif
Il correspond au lien d'un des vos smileys
- Code:
https://cafet.1fr1.net/users/3112/36/10/58/smiles/434533.gif
Je ne peux pas vous dire comment il s'est retrouvé là, il s'agit d'un conflit quelconque (habituellement, cela peut se passer lorsque on met un chiffre sans ":" dans le code d'un smiley, mais ici c'est même pas le cas... )
D'ailleurs, j'ai juste vidé les 2 champs, mais en revenant sur l'édition du message je vois que maintenant les bonnes URL sont affichées..
Bonne journée,
Cordialement
Re: Impossible d'envoyer un message édité
Super ! Un grand merci !
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